Le ciel gronde, la pluie s’intensifie. Vêtue de jeans scintillants, Marie-Caroline Hominal évolue comme dans un conte au milieu d’une scénographie dominée par le rose : de grands panneaux peints par son frère David Hominal, aux textures changeantes, aux tonalités fuyantes, aux motifs répétitifs, sur lesquels la danseuse projette son ombre, ses histoires, ses rêves éveillés et ses doutes assumés. Elle aussi travaille la répétition, le collage, le geste formel, avec un sens...
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