Après Blasted de Sarah Kane et Gulliver de Jonathan Swift, Karim Bel Kacem s’empare d’un chef-d’œuvre du barde. Cette fois-ci, ce sont les ressorts d’un système sécuritaire et répressif qu’éclaire le dispositif scénique constitué d’une structure close dotée de vitres sans tain. Le spectateur devient ainsi figurant et voyeur tandis que se tisse un subtil jeu de correspondance. Du théâtre qui revendique ses accointances avec le cinéma.
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