C’est en toute liberté que Valentine Sergo s’inspire de La vie est un songe de Calderón. Sans doute parce que, pour elle, le songe n’est qu’un leurre dans une œuvre qui traite essentiellement de manipulation et de libre-arbitre. Poursuivant dans un registre qui mêle fiction et réel, la metteure en scène brouille les pistes à grands renforts de récits, retranscriptions d’entretiens, poésies et contes. Beau et percutant.
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