Quelques virages serrés, la route descend à pic, traverse un village qui s’étale le long de la côte. Un grand parking ouvert sur la mer, cerné de baraques, toutes fermées, certaines anonymes, d’autres non, qui annoncent de la bière ou de la friture. Une immense structure décharnée marque l’entrée, fantomatique, traversée par le vent.
Plus loin une plage de sable noir s’étend au pied de la montagne. On s’y réchauffe, on plonge. L’ombre nous recouvre...
Lire la suite