Comment briser un tabou familial et sociétal ? C’est la question que pose Mika Sperling (RU/DE) dans Je n’ai rien fait de mal. Armée de sa vulnérabilité, portée par sa résilience, cultivant la conscience des faits pour en rejeter la violence, la photographe y évoque les crimes de son grand-père, dans trois ensembles complémentaires.
D’abord, des images réalisées en collaboration avec sa fille,...
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