Des textes comme des coups de poings. Un martèlement sur l’estomac, comme pour rendre les coups de la vie et du monde. Un besoin pressant de crier qu’il n’est plus le temps des demi-mesures et des positions tièdes. La période est à l’urgence, celle d’agir pour pouvoir continuer à vivre. Alors on gratte. Des textes qui puent, des textes qui crachent parce qu’il y a des choses que l’on a pas envie de rendre belles
Rue Ancienne 67 bis - Carouge
19:00 Portes: 18h. Chapeau