Le festival d’art déviant puise encore dans une sorte d’euphorie collective, addictive et latente : seule récompense pour ceux qui le mettent sur pied, puis, pour ceux qui le font s’élever par moments au rang des choses extraordinaires.
Nous ne sommes pas morts. Pas encore.
Pour sa quatrième édition, le DAF se mêle de plus de construction, plus d’action, mais résolument autant d’écoute. Encore les moyens du bord. Encore l’amour du défi. L’échec ou la révélation ? Encore la même seule certitude, être ensemble.
Programmation complète :
www.daffestival.com