1888. Dans les brumes londoniennes, à l’intérieur d’une taverne, la tenancière, une vieille prostituées des bas-fonds de l’East End chante des chansons à boire irlandaises, accompagnée par son pianiste alcoolique. Ils chantent la misère et l’espoir. A une table, un client est assis devant sa chope de bière. Il converse avec son voisin, un jeune français. Il soliloque. De quoi parle-t-il ? De l’actualité bien sûr, de ce Jack l’Eventreur qui sévit depuis plusieurs mois. Déjà quatre prostituées égorgées, ventre ouvert, ont été retrouvées. Une seule question le poursuit : « Pourquoi ? ».
Une question que nul auteur en quête de vérité sur Jack ne s’est posée depuis plus d’un siècle !