La décadanse

Imperial Road / f / pop rock

Imperial Road ce n'est pas que des musiciens qui maîtrisent leur sujet, c'est aussi etavant tout une bande de redoutables auteurs/compositeurs!Le groupe délivre une production aux arrangements subtils, parfait écrin pour leursmélodies ciselées et envoûtantes que n'auraient pas renié les Beatles. Servie par un groove dignedes Red Hot Chili Peppers et des riffs tranchants à la Jack White, la musique d'Imperial Roadgrave immédiatement les neurones, explorant les multiples facettes du gang!Prêts à prendre la route ?Story TimeThonon les Bains, Haute-Savoie, Printemps 2022.Lorsque Jérémy Valère (guitare) et Anthony Robier (guitare, chant), anciens compères ayant officié au seinde plusieurs formations se retrouvent après s’être perdus de vue plusieurs années, l’envie de remonter un projetensemble commence à les titiller. Répondant à leur appel, Fanny Garayoa au chant, Julien Durand à la basse etJean-Baptiste Ortiger à la batterie les rejoignent. En 2024, Derico da Purificação remplace ce dernier derrièreles fûts.Après quelques jams, l’énergie est là et le groove s’installe très vite. Les premières compositions prennentforme rapidement et sont finalement interprétées sur scène à peine quelques mois plus tard, alors que le groupene s’est même pas encore choisi de nom. Ils donneront ce premier concert ensemble sous l’étiquette énigmatiquede « Who’s Who Band ».« Imperial Road », route où se situe le studio du groupe, deviendra leur signature (en clin d’œil aux studiosAbbey Road des Beatles).Dès Janvier 2023, le gang a déjà écrit plusieurs morceaux et c’est avec ces premières compositions qu’ilprend la route du Studio du Lac à Annecy.Avec Rob Carson aux manettes, et en seulement trois jours, les 5 titres de l’Ep Entry Lane seront réaliséspuis paraîtront entre Juin et Octobre. Plusieurs concerts seront donnés dans l’intervalle et le public sera aurendez-vous !Porté par l’accueil réservé à Entry Lane, le groupe se remet immédiatement au travail afin de réaliser lesdémos de nouveaux titres. C’est au studio Tram 28 qu’ils confieront le soin à Fabien Tessier d’enregistrer les 12pistes de « Speed of Life », leur premier album à paraître en 2025.Le GroupeAnthony Robier est envoûté par le démon de la musique lorsqu’unpote de collège lui met une basse, puis une guitare dans les mains.Autodidacte, il fait ses armes aux sons de The Police, The Who, Queen,The Beatles et tant d’autres, avant de prendre la vague Brit Pop en pleineface et de digérer le répertoire de Paul Weller, LA référence. A Parisil évoluera au sein de « Stereotype », qui sortira un EP pop au sonsixties assumé, et sévira avec les « Good Ones », gang garage rock.Jérémy Valère apprend la guitare dès le primaire, suivantl'élan familial pour cet instrument. Il monte de multiplesgroupes de covers et commence à jouer dans les bars dèsle lycée. Il prolonge ses projets musicaux pendant sesétudes puis en parallèle de sa carrière professionnelle. Ilpuise son inspiration à de multiples sources, des Beatles àJohn Mayer, avec une forte préférence pour lesartistes compositeurs, la pop, l’indé, le blues et le funk.Bercé au classic rock et au folk il compose principalementsur guitare acoustique.Fanny Garayoa évolue dans une famille peu mélomane prédominéepar la culture classique ou des vieux vinyles des Beatles, deSupertramp et de Magma coexistent. Dès l’école primaire, elle montesur scène et forme avec des amies un « girls band » de chansonsfrançaises. S’essayant à plusieurs instruments, c’est dans le chantqu'elle trouve une vraie motivation. Sa culture pop rock s’élargira aucollège et au lycée au son des 90’s mais elle sera également trèsattirée par les musicalités trip hop proposées par Portishead etMorcheeba. A 20 ans elle chante au sein de groupes de reprises avantde former un trio acoustique blues rock où elle commence àcomposer et écrire des textes. Installée plus tard en Haute-Savoie,elle rencontrera Anthony qui lui proposera d’incarner la voixd’Imperial Road.Le GroupeJulien Durand est biberonné aux sons des 70’s lorsqu’il attrape uneguitare à 13 ans , il balance ses premiers riffs en pleine vague Grunge.Très vite, il se tourne vers la basse, et enchaîne les formationséphémères, toujours inspirées rock (Led Zep, Hendrix) ainsi quefusion (RHCP) et grunge 90’s, sous les auspices des figures tutélairesde la basse (Jaco, Stanley,...). Au tournant des années 2000 ilcompose de la House pour des défilés de mode sur Lyon.Partiellement pianiste et batteur, il développe son univers Electrodécalé en solo et commet 3 albums à base de samples et de bouclesJungle et Electro, avant de rejoindre Imperial Road.Derico da Purificação, percussionniste et batteurautodidacte, est né à Salvador de Bahia, Brésil. Il débutesa carrière professionnelle en 1992 avec le Trio EletricoNovos Barbaros, un char carnavalesque sonorisé de 200à 300 kW. En 1994, il poursuit sa formation auconservatoire Souza Lima à São Paulo et joue dans legroupe de Mara Maravilha. De retour à Salvador en1997, il rejoint le groupe Banda de Maçã. En 2002, ils’installe à Paris, où il collabore avec des artistes tels queGeronimo Santana et participe au concert de CarlosSantana au Montreux Jazz Festival en 2006. À Paris, ilcollabore aussi avec le professeur et musicien PedroAbib sur le documentaire « SambaLumière ». Depuis2018, il vit dans la région de Gex et rejoint le groupe TheNearlies. Avec eux, il crée deux albums : « Ghost Rock »(2020) et « Fresh Memories » (2023), avant d’in
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18:30 – 19:30
Prix Libre pour l'artiste
Signaler une erreur Ajouté par Herr Liebe le 14 janvier 2025