La proposition de Bender est similaire à celle d’une plage méditerranéenne à la fin du mois d’août : un espace où l’on bascule, en quelques secondes, de la contemplation charmante d’une mer d’huile impassible à l’enfer post-méridien des foules à la peau brûlée, des hurlements d’enfants et des maillots de mauvais goût. Que le mistral se lève, giflant les baigneurs et nous foutant du sable plein les yeux, ou que les orages d’été répandent les ordures des égouts entre les parasols, Bender intègre tous ces états pour élaborer une musique riche de nuances et d’atmosphères contrastées
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