Jean Rondeau construit avec Tancrède D.Kummer à la batterie un itinéraire qui se fond dans la forme des Variations Goldberg tout en imaginant un discours musical autre, entrechoqué d’improvisations et de textes tirés du Canto d’Ezra Pound, de Valère Novarina et de Shura Rusanova.
Le résultat : une œuvre contemporaine sans auteur ni forme définitive, et un moment musical singulier où ils se font les exégètes d’une musique toujours renouvelée.
Jean Rondeau, piano
Tancrède D.Kummer, batterie
Silouane Colmet Daage, sonorisation