Séance en écho à la sortie de Danser sur un volcan, qui en est en quelque sorte le making-of
La famille Badri a fui Beyrouth, devenue irrespirable, pour vivre isolée dans les montagnes. Lorsque le gouvernement fait construire une décharge devant leur maison, les tensions se multiplient. En écho aux récentes explosions et à la crise des déchets dans la capitale, la jeune réalisatrice libanaise Mounia Akl a réussi une allégorie sublime de l’engagement politique et de la décadence d’un monde corrompu.