Une sélection de films en format court sous le signe de la diversité. Le programme Under Pressure a été conçu en collaboration avec les Internationale Kurzfilmtage Winterthur, le plus important festival de courts métrages en Suisse.
2006
de Gabriella Choueifaty, France/Liban, 2024, 24’, vo fr/arabe, st fr. Première suisse romande
Distribution : Films de Force Majeure
En 2006, tandis que la guerre fait rage au Liban, Sariah, sa mère et sa sœur, confinées, tentent de mener une vie normale. Mais dans cet espace clos où le temps semble figé, les efforts d’évasion de chacune ravivent rapidement de profondes tensions.
2MM
de Mona Jelić, Suisse, 2024, 8’, vo serbe, st fr. Première suisse romande
Distribution : Jadar Film
Alors que les ambitions de l’UE en matière d’énergie verte grandissent, une communauté rurale serbe devient le théâtre de conflits pour l’avenir électrique de l’Europe. Le projet d’une énorme mine de lithium suscite une opposition nationale féroce.
GÉNÉALOGIE DE LA VIOLENCE
de Mohamed Bourouissa, France, 2024, 15’, vo fr, st ang. Première suisse romande
Distribution : Manifest
Interpellé par des policiers alors qu’il est en voiture avec une amie, un garçon racisé subit un contrôle d’identité de routine. L’officier procède alors, avec méthode, à sa palpation, devant le regard choqué et gêné de son amie.
HAULOUT
d’Evgenia Arbugaeva & Maxim Arbugaev, Royaume-Uni, 2022, 25’, vo russe, st fr. Première suisse romande
Distribution : Rise and Shine world sales
Sur une côte isolée de l’Arctique sibérien, un homme seul dans une hutte battue par les vents attend un phénomène naturel annuel. Mais le dérèglement climatique entraîne un changement imprévu, et il se retrouve bientôt dépassé par les événements.
THE MAN WHO COULD NOT REMAIN SILENT
de Nebojša Slijepčević, Croatie/Bulgarie/Slovénie/France, 2024, 14’, vo croate/serbe, st fr. Première suisse romande
Distribution : Manifest
27 février 1993, Bosnie-Herzégovine. Un train est arrêté par des militaires lors d’une opération de nettoyage ethnique. Alors qu’ils détiennent des civil·es innocent·es, un seul homme sur les 500 passager·ères s’y oppose. Voici l’histoire vraie d’un homme qui a refusé de se taire.