Virtuose de la guitare, créateur du blufunk, savant mélange de blues et de funk, Keziah Jones mélange habilement ses influences, comme Miles Davis, Fela Kuti, Prince, avec son magnétisme électrique et son engagement social.
Keziah Jones joue de la guitare et chante comme personne ne l’a fait depuis longtemps (Jimi Hendrix, Sly Stone). Sa musique a un nom. Il a appelé blufunk ces brusques attaques de la voix, ces accords hachés qui claquent soudain dans tous les coins, le martèlement du pouce sur les cordes qui fait danser le bois de sa guitare.
Keziah Jones ne cesse d’être engagé dans ses textes et sa musique métissée, puisant autant dans les rythmes d’Afrique de l’Ouest, la soul et le funk que le blues, interrogeant la figure de l’homme noir dans le monde occidental.
Après des années de pérégrinations et un long séjour à Londres, Keziah Jones s’est établi à Lagos, pouls battant de la scène nigériane, qui continue de lui inspirer une musique cosmopolite taillée pour la scène.
Il parcourt le monde depuis 3 décennies, livrant régulièrement des albums telles des cartes postales musicales. Son voyage passera par Château Rouge pour notre plus grand bonheur.
En première partie :
Astrønne est une artiste multi-instrumentiste qui compose, chante et déclame sa poésie. Elle a récemment sorti un EP en collaboration avec LaBlue. Par son timbre de voix, ses mélodies et son histoire, Astrønne charrie ce que l’amour a d’universel. La passion qui emporte. Ses chansons murmurent les amours qui nourrissent, celles qui brûlent. Et elle partage cela avec nous.